On parle d’urgence lorsque le pronostic vital de la victime est engagé. Quand un tel cas se présente, il est recommandé d’appeler les secours. Cela peut être le SAMU au 15, les sapeurs-pompiers au 18, voire la police ou la gendarmerie au numéro 17. Mais avant l’arrivée des secours, il convient d’administrer les premiers soins à la victime afin d’augmenter ses chances de survie. La nature de ces soins varie d’un cas à un autre, comme nous allons le voir dans cet article.
Les cas d’urgence les plus fréquents
Parmi les cas d’urgence qu’on rencontre le plus, on a d’abord celui lié à l’étouffement. Il se produit quand la victime respire difficilement ou pas du tout. Cela se produit souvent lorsque ses voies aériennes sont obstruées. Ensuite on a le saignement qui est généralement dû à une coupure ou à une fracture. Puis on a les cas d’inconscience. On y est confronté lorsque la victime respire, mais ne parle pas et ne réagit pas. Enfin, il y a les problèmes cardiaques qui peuvent être un simple malaise, ou plus grave encore, un arrêt. Si vous faites face à l’un de ces cas, découvrez ce service de mise en relation avec les médecins de garde proches de chez vous pour une intervention immédiate.
Les premiers soins en cas d’urgence
Les premiers soins dépendront du cas. Ainsi pour un arrêt cardiaque, il faudra appliquer les gestes de secours ou recourir à un défibrillateur en suivant le mode d’emploi de l’appareil. Pour un étouffement, on pourra appliquer la technique des claques dans le dos ou celle des compressions abdominales. Un saignement en revanche nécessitera la mise en place d’un tampon relais. Pour les cas d’inconscience, on veillera à libérer les voies aériennes de la victime avant de la mettre en position latérale de sécurité (PLS). Pour les malaises cardiaques enfin, on mettra la victime dans une position confortable en attendant l’arrivée des secours.