L’augmentation mammaire fait partie des opérations chirurgicales les plus réalisées par les chirurgiens esthétiques. Contrairement aux idées reçues héritées de la folie des années 1990, les femmes ne demandent pas cette intervention pour agrandir outrancièrement leur poitrine, mais elles cherchent à corriger un complexe tout en ayant un résultat très naturel. Les trois principales questions qu’elles se posent avant de prendre rendez-vous en clinique sont celles-ci.
Est-ce que c’est douloureux ?
L’augmentation mammaire se fait sous anesthésie générale. L’opération est donc complément indolore pour la patiente. Ensuite, au réveil, elle fait l’objet d’une surveillance et bénéficie d’antidouleurs. La douleur est donc tout à fait maîtrisée et s’estompe très rapidement. Une sensation de tiraillement peut être ressentie au niveau des cicatrices pendant quelques jours. Les seins ont tendance à durcir pendant quelques mois, mais ils s’assoupliront très rapidement pour prendre leur forme définitive.
Est-ce que c’est naturel ?
Les chirurgiens utilisent les méthodes les moins invasives pour faire en sorte de laisser le moins de traces possible. D’abord, pour de petites augmentations ou pour traiter un sein déformé ou âgé, ils préconiseront une injection de graisse prélevée sur le corps de la patiente. Ensuite, dans la majeure partie des cas, ils optent pour des prothèses mammaires qu’ils insèrent dans le sein à l’aide d’une incision au niveau de l’aréole, de l’aisselle ou bien sous le sein.
Est-ce que la récupération est longue ?
Grâce aux nouvelles techniques de chirurgie esthétique pour augmenter le volume des seins, les chirurgiens ont réussi à faire en sorte de réduire considérablement le temps de convalescence des patientes. Les patientes sont hospitalisées pendant 24 h pour rester une nuit sous surveillance puis elles peuvent rentrer au domicile dès le lendemain. Généralement, il faut compter un temps de convalescence de é à 7 jours selon les cas, et une reprise de l’activité physique et sportive au bout de 15 jours ou 3 semaines sur avis du médecin généraliste.