Si pour une raison ou une autre, vous avez les sourcils mal définis ou trop fins, la solution idéale est le microblading. Ce dernier vous permet d’obtenir de jolis sourcils naturellement bien tracés de manière durable, ce qui vous évite de devoir utiliser votre crayon cil tous les matins devant le miroir. Mais que faut-il réellement savoir sur le microblading ?
Le microblading : de quoi s’agit-il exactement ?
Le microblading est également appelé technique 6D. Il s’agit d’un maquillage semi-permanent issu d’une technique asiatique ancestrale qui consiste à tracer une ligne parfaite de sourcils. Le résultat obtenu est très naturel dans la mesure où l’institut applique la teinte adaptée à votre carnation et que les poils sont dessinés un à un. Comme outils, un stylo métallique et de petites aiguilles sont utilisés. L’encre est injectée dans la peau comme au cours d’une séance de tatouage. Le microblading Montpellier procède souvent en deux séances : la première pour redessiner le sourcil suivi d’un travail de remplissage, la deuxième pour fixer la pigmentation pour que la teinture des sourcils soit durable. L’effet est de longue durée puisque ce type de maquillage peut tenir jusqu’à un an et demi. L’institut Le Grand Cil sis à Juvignac aux portes de Montpellier est spécialisé en la matière pour un rendu impeccable.
Le microblading : pour qui ?
Le microblading est une prestation proposée en institut pour des personnes de plus de 16 ans. Un accord parental est exigé pour les mineurs. Il faut toutefois savoir que cette technique présente des contre-indications. Le microblading n’est pas adapté aux femmes enceintes, aux personnes hémophiles et aux individus qui sont en traitement « Roaccutane » ou qui ont des chéloïdes. Pour les personnes atteintes de diabète, un certificat médical est requis. En effet, leur aptitude à bénéficier d’un microblading dépend de leur niveau de diabète. Enfin, il n’est pas conseillé de faire de soin si vous avez des allergies aux pigments utilisés.
Le microblading : qu’en est-il de la douleur ?
Le microblading n’est pas sans douleur puisque des aiguilles doivent tout de même s’enfoncer sous l’épiderme. Toutefois, la douleur est plus supportable que pour une séance de tatouage puisque les terminaisons nerveuses sont plus ou moins épargnées. Il y a aussi moins de saignements, ce qui accélère la cicatrisation. Aussi, pour atténuer la douleur au moment de la séance de microblading, il est conseillé de préparer votre peau. Pour ce faire, hydratez-la au maximum afin de faciliter la pigmentation. Il faut aussi une peau bien propre et sans lésion. La veille, réalisez un gommage pour éliminer les peaux mortes.
Le microblading : et la cicatrisation ?
Après une séance de microblading, la cicatrisation peut s’étaler sur quatre semaines. Des conseils d’entretien sont prodigués pour éviter la formation d’importantes croûtes : appliquer de la crème trois à quatre fois par jour pendant 10 jours. Après ce délai, l’usage d’une crème hydratante classique est conseillé.
Si la cicatrisation est normale, la pigmentation doit normalement devenir sombre après quelques jours pour ensuite s’éclaircir au bout de 8 jours. Ce n’est qu’après une vingtaine de jours que le résultat naturel apparaîtra. Si la pigmentation forme de grosses croûtes épaisses, il importe de revenir à l’institut pour y remédier au plus vite.